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Marketing Opérationnel

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Marketing Opérationnel
16 novembre 2009

Astuces des managers efficaces

1- Connaitre son poste

-Responsabilités

-Missions

-Objectifs

-Ecrire sur une feuille les verbes des actions à entreprendre

2- Distinguer l'important de l'urgent

-Matrice d'Eisenhower

-Je fais, je délégue, je reporte, j'élimine

3- Evalution du temps.

-Se chronométrer une fois pour chaque tâche

-S'accorder 10% de plus que le temps prévu pour la tâche

4-Etablir un planning

-3 types de réunions : quotidienne, hebdo, mensuelle

-Même client, même rendez-vous (même date, même heure)

-Prévoir le plus tôt possible les rendez-vous les plus stratégiques

-Utiliser quotidiennement une To do List

-3 objectifs par semaine

-Marge de 10 à 20% par semaine pour les imprévus

-Méthode du Chou-fleur

5- Déléguer

a) Sans perdre son temps

-Identifier ce qui est confiable

-Déterminer quoi garder

-Attribuer chaque tâche au mieux adapté

-Expliquer en profondeur la mission

b) Sans perdre le contrôle

-Surveiller

-Valider les initiatives

-Controler à posteriori

-Etre tenu informé

-Accorder une autonomie

-Dessinez un sociogramme

6-Les mangeurs de temps

-Refuser les copies e-mail systématiques

-Ne pas surfer sur internet sans but

-filtrer les appels

7-Raccourcir et densifier les réunions

-10 minutes de présentation

-10 minutes de tour de table

-20 minutes de débat

Objectifs :

-coordonner des actions

-faire jaillir des idées

-tisser des liens

Une bonne technique pour finir à l'heure est de fixer la réunion avant un déjeuné

8-Bien classer pour ne rien oublier

-Etre minimaliste :

-1 Pc

-1 Téléphone

-1 Pot à crayons

-1 bloc notes

-3 chemises de couleurs différentes

-1 classeur

-3 bannettes : B1 : boîte de réception des messages papiers

               B2 : tous les documents qui nécessitent votre signature ou votre lecture

               B3 : tous les documents dont j'attends des réponses.

Par Vincent Escobar.

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27 octobre 2009

Le Football, du maillot de joueur à la casquette d'éducateur.

Depuis l'âge de 6 ans, et jusqu'à mes 19 ans, j'ai pratiqué du football au sein de l'Entente Boé Bon-Encontre (47). Fort de son école de football, l'E.B.B.E. a formé des joueurs qui évoluent au sein de l'élite régionale, certains ont intégrer des équipes professionnelles.

Mon parcour en tant que joueur.

Présentant des aptitudes physiques et techniques adéquates, j'ai intégrer l'équipe 1 des Poussins. Nous avions comme éducateur le père de notre gardien de but qui nous a très bien formé en terme de placement. Nous avons remporté de nombreux tournois, notamment celui qui est organisé par notre club face aux Cheminots de Nîmes. Lors de mon accession dans la catégorie supérieur et alors que je n'étais qu'en première année j'ai eu la chance d'intégrer l'équipe 1 qui était composée de deuxième année. En effet, fort d'un effectif soudé, passionné et conquérant nous avons remporté bien des tournois dont celui de la Coupe du Monde 1998. Il réunissait les meilleurs équipes du Lot-et-Garonne et la récompense était de jouer un match en levé de rideau au Stadium de Toulouse avant la rencontre de poule opposant l'Afrique du Sud au Danemark. Arrivé en finale face à notre voisin et grand rival le Sporting Union Agenais Football nous l'avons emporté au tir au but. Pourquoi ce récit ? parce que vous ne pouvez pas vous imaginer la pression que nous avons subi pour décrocher cette qualification alors que nous n'avions que 10 ans. Par la suite, mes progrés et mes qualités m'ont permis d'intégrer la sélection du Lot-et-Garonne en moins de 13 ans. Je n'ai toutefois pas souhaité m'investir totalement dans le football en privilégiant mon parcours scolaire. Je suis donc resté à l'E.B.B.E. jusqu'à mes 19 ans en évoluant dans l'élite régionale.

Mon parcour d'éducateur.

A l'âge de 16 ans, j'ai été intéressé par l'encadrement. J'ai donc commencé à entrainer la catégorie débutant. Mais peut on parler d'entrainer ? NON, il s'agit bien d'éveil, d'éducation. J'ai donc fait mes classes en tant qu'éducateur des débutants pendant 3 ans. Au bout de ces trois années, il me semblait avoir acquis des compétences nécessaires pour évoluer, c'est pourquoi j'ai souhaité passer en catégorie supérieur avec l'équipe que j'avais depuis une saison. J'ai suivi une formation diplomante de la Fédération Française de Football afin d'avoir des notions théoriques et pratiques plus complexes. La première année a été difficile car nous avions un bon placement, de bonnes qualités techniques, toutefois le physique nous faisait défaut. En revanche l'an d'après, en deuxième année, nous avons été couronné Champion du Lot-et-Garonne et nous avons remporté le tournoi international de Toulouse après avoir éliminé une équipe portugaise en demi-finale (3-0) et s'être imposé face à une équipe Guadeloupéenne en finale 2 à 0. Ma plus grande joie a été de voir le plaisir qu'avaient ces enfants à apprendre, à rechercher l'excellence, et à s'être invité au le tournoi national d'Albi (qui se déroulera prochainement) en rentrant dans les tableaux en même temps que les équipes des clubs professionnels.

Il s'agit donc bien d'une éducation et non de génération. J'ai grâce à cette expérience développé des qualités de management importantes car la gestion des enfants est une chose mais celle des parents en est une autre bien plus complexe. J'ai ainsi appris à écouter, à comprendre, à communiquer en mesurant mes propos, à faire adhérer à mes idées et mes objectifs et obtenu des résultats qui semblaient irréalistes. Sans m'en rendre réellement compte ni de façon délibérée, je me suis intéressé au rôle de manager dès mes 16 ans.

27 octobre 2009

Le management se met à l'heure du Sport

Si les athlètes en vue sont souvent mis à contribution pour apporter leur notoriété aux entreprises, ces dernières tirent aussi profit des valeurs sportives.Pendant trois semaines, les entreprises vont vivre à l'heure du football. Sujets de conversation inépuisables pendant toute la durée de l'Euro, les exploits ou les contre-performances de l'équipe de France seront étudiés, analysés, disséqués devant la machine à café ou le téléviseur grand écran du bistrot d'à côté.

Si les manageurs pestent contre les inéluctables baisses de productivité lorsque les rencontres ont lieu aux heures du bureau, le football peut aussi avoir des effets bénéfiques sur le fonctionnement de l'entreprise. « Le sport peut indéniablement créer des liens forts dans l'entreprise , explique Thierry Lardinoit, professeur de marketing titulaire de la chaire européenne de marketing sportif de l'Essec. Mais au-delà, un PDG peut s'inspirer du rôle du capitaine de l'équipe, qui est sur le terrain, s'im­plique, défend ou marque des buts. »

Un PDG peut aussi essayer de manager différemment. «   En matière de ressources humaines, il faut analyser le rôle des entraîneurs formateurs qui se rapproche beaucoup de celui des PDG, poursuit Thierry Lardinoit. Le responsable d'une équipe “espoir” doit à la fois gérer le court terme pour les titres immédiats et faire évoluer ses joueurs sur deux ans. »

L'école de la réalité

De la même façon, un patron doit à la fois assurer les résultats commerciaux nécessaires à l'entreprise et donner le temps de la formation. « Et, surtout, les sportifs de haut niveau savent dépasser l'échec, ils l'étudient pour progresser, poursuit-il. Dans l'entreprise, il n'est pas très fréquent que l'on parle des échecs. Et que l'on tire toutes les conclusions.  »

Car le sport, c'est l'école de la réalité. « Dans le sport on ne peut pas toujours, sauf dans les sports collectifs où l'on peut toujours accuser les autres, chercher beaucoup d'alibi à sa propre défail­lance, explique Gilles Amado, professeur au dépar­tement management et ressources humaines de HEC.Il faut aller à la recherche de soi-même, mais sans pour autant vouloir atteindre la performance extrême qui, dans l'entreprise, peut conduire à la mise sur la touche. »

Le sport peut aussi faciliter la vie dans l'entreprise. « La solidarité, si importante dans le sport, est absente de la vie de l'entreprise, poursuit Gilles Amado. La plupart des gens voient dans leurs collègues de bureau des rivaux potentiels, car chacun craint pour sa situation. IL est important de développer l'esprit d'équipe. »

Vers un but commun

Bien entendu, une partie de foot peut faciliter la disparition des barrières hiérarchiques, permettre de tisser des liens  ce dont les entreprises ne se privent guère puisque nombre d'entre elles ont une ou plusieurs équipes et les grands groupes orga­nisent même des tournois importants. « On peut aussi noter que les grands sports ont été codifiés dans les ­universités à l'époque victorienne en Angleterre, en complément de la formation pour les milieux d'affaires, explique François Leccia, directeur de l'Institut sport et management à Grenoble école de management. Le rugby s'y prête d'ailleurs le mieux. » Les sports indi­viduels sont aussi à l'honneur.

De grands groupes mi­sent également sur le golf. « En choisissant Tiger Woods, Accenture veut mettre en valeur les qualités de pré­cision, de concentration. » Mais le sport, c'est aussi la concentration d'une équipe vers un but commun.

« Lors­que toute une équipe est tendue vers un projet, qu'elle en effectue une lecture commune, cela peut apporter du plaisir, poursuit François Leccia. Même dans les difficultés, je vois des gens qui prennent du plaisir dans les entre­prises. »

par Charles Gautier
Le 09/06/2008 extrait du Figaro

27 octobre 2009

Présentation

imagesEn dernière année d'école supérieur de commerce à l'INSEEC BUSINESS SCHOOL à Bordeaux, je m'apprète à rentrer dans le monde du travail. Pour préparer au mieux le début de ma vie professionnelle, je souhaite partager avec vous mon savoir être et mes compétences. Effectivement, ces dernières pourraient constituer une réelle valeur ajoutée pour votre entreprise.

Je vous invite à consulter mon CV.

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